Description
À Paris y a les rues qui palpitent de ces vies en pépites qui se pressent et crépitent aux bouches des métros,
le quadrillage t’hésite aux visages de granit qui sans cesse s’effritent aux bouches en ciseaux.
0,20€
Poème, pdf.
À Paris y a les rues qui palpitent de ces vies en pépites qui se pressent et crépitent aux bouches des métros,
le quadrillage t’hésite aux visages de granit qui sans cesse s’effritent aux bouches en ciseaux.