Description
Sept minutes à peine à gronder le tonnerre entre ses jambes, deux maximum à dompter diligence au millimètre sur Abenosuji le long de Uemachi Line et le voilà déjà de retour, comme si de rien, dans l’antre réitéré du quotidien : de sombres et longs couloirs de béton gris, anonymes et quasiment déserts, où s’entreposent, s’entassent et oublient toutes sortes de matériels électroniques et scéniques à l’abri d’innombrables flycases neutres, chromes aux angles, noirs ou gris – on ne saurait dire parfois tant la poussière s’est installée définitivement sur certains de couches lourdes et denses.